Pippa wright

Ma 1ère chick lit de l'hiver  : Lizzy Harrison pète les plombs de Pippa wright.

Pourquoi sommes nous si mauvais dans les traductions ?  Titre original "Lizzy Harrison loses control " devient lizzy pète les plombs...

Présentation de l’éditeur

Une comédie pétillante et so british dans la lignée de Sophie Kinsella, sur une jeune femme qui pensait contrôler sa vie, avant de se trouver confrontée au monde impitoyable des flashs et des paillettes. Au vu des critères du XXIe siècle, Lizzy Harrison est une sorte de nonne à talons. Son quotidien dans les relations publiques est aussi funky qu’un sudoku, et sa routine bien huilée ne laisse aucune place à l’imprévu, à l’inverse de sa meilleure amie Lulu, qui change d’amant aussi souvent que de couleur de cheveux. Aussi, quand sa patronne la jette dans les bras de leur client numéro un, Randy Jones, pour qu’elle redore le blason médiatique de la star en pleine débâcle, Lizzy accepte à son corps défendant de se prêter au jeu. L’occasion de découvrir le monde glamour et cruel des people. L’occasion aussi de comprendre qu’un bon pétage de plombs n’a jamais fait de mal à personne...

 Pour Lizzy garder le contrôle des évènements lui permet de supporter son existence, de ne pas se mettre en danger et surtout de ne jamais souffrir.

Alors tomber amoureuse d'un garçon "bien" n'en parlons pas. Elle préfère les échecs évident à la possibilité de vivre quelque chose de vrai. Oui car vivre c'est se laisser aller, perdre le controle, être heureu mais aussi peut être malheureu...

Ne jamais se mettre en danger est un leitmotiv presque inconscient.

Qui ne se reconnait pas un peu là ?

Mais par amitié et loyauté envers sa boss, lizzie va se retrouer dans une fausse relation avec un show man  efféminé, cocaînomane et sex addict !

Poussée par sa meilleure amie Lulu qui change de mec comme elle change de coiffure (toute les semaines) lizzie va se lacher et commencé à se croire amoureuse d'un randy jones schizophrene qui oscille entre le petit amis bien veillant et la super star égocentrique attiré par tout se qui ressemble de près ou de loin à une fille.

Puis il y a le frère de Lulu, rugbyman, ami discret, présent et protecteur, bati comme une armoire à glace... et franchement, la suite devient plus qu’évidente.

Mais bon... bien que le manque d’originalité constitue ici le plus gros écueilde ce livre . Heureusement, le rythme, les personnages nous font sourir. Beaucoup de dynamisme et d’enthousiasme pour ce premier roman.Pipa wright possède une délicieuse acidité, un talent intéressant pour croquer les mauvais côtés des gens en quelques phrases assassines...

Pour conclure  : une semaine de lecture très sympa, facile et agréable à lire !!!